Bonjour,
La Twingo chaussée de pneus neige ne craint pas les petites route du Cantal, et de l'Aubrac. Alors, au lieu de l'A75 bien salée, qui immacule le pare-brise de trainées blanches, descente sur Nant, via Marcenat / Murat, Chaudes-Aigues, Laguiole, Nasbinals, Saint-Germain-du-Teilh
Un constat s'impose : si un préampli, bien choisi, permettait que le Pure Highway produise de l'audio même dans les endroits reculés où il y a du champ (càd, lorsqu'il cherche pendant au moins 1 seconde indiquant qu'il y a bien quelque chose), les programmes de Radio Classique semblent écoutables, globalement, de Clermont jusqu'en Aubrac :
via le 7D clermontois, principalement.
mais également, au sud de Saint-Flour le 7A lorsque le mux auvergnat n'est plus reconnu...
et enfin via le 7C sur le versant sud de l'Aubrac, jusqu'à Saint-Germain-du-Teilh.
Au-delà, il faut patienter jusqu'à atteindre le col d'Engayresque (audio ponctuellement), l'aire de la Garrigue (ponctuellement), et à partir de la Cavalerie (de manière discontinue, dans le meilleur des cas...).
Ceci étant rappelé :
7D de la Fontaine du Berger. audible jusqu'au niveau de Super-Besse, puis discontinu jusqu'au carrefour (vers Picherande), puis Bribes, puis reconnaissance, puis fin de la reconnaissance en arrivant à Egliseneuve-d'Entraigues.
. non reconnu Egliseneuve-d'Entraigues (nord) jusqu'à Marcenat (où il est audible limite).
. reconnu de manière irrégulière, entre Marcenat et Allanche
si dégagement vers le nord.
. globalement reconnu entre Allanche et Murat (et souvent audible) en altitude, car de bons dégagements vers le nord ; se tait dans la descente vers la vallée de l'Alagnon. Puis reprend en montant à Albepierre, et Prat de Bouc où l'on retrouve le 7C marseillais (et même le 8A, et limite le 7A en audio...), qui se tait dans la descente depuis ce col, vers environ 1200 mètres d'altitude).
. à partir de Paulhac, et pendant plusieurs km, jusqu'au moment de la descente dans la vallée de la Truyère (avant Chaudes-Aigues), selon cette répartition
10 / 20 % : audible à la faveur d'un bon dégagement vers le nord (c'est pas beaucoup... mais à l'arrêt, c'est jouable...)
70 / 80 % : reconnu sans audio
. Chaudes-Aigues > Laguiole
3/4 km au sud de Chaudes-Aigues (fin de la montée), jusqu'à environ 4 km avant Laguiole, le 7D fait non seulement de la résistance mais il est même audible lors de bons dégagements vers le nord, notamment avant d'arriver à Lacalm. Et cela peut durer plusieurs centaines de mètres sans problème. C'est en arrivant vers Lacalm que le 6C toulousain devient (enfin) reconnaissable (mais de manière ponctuelle) avec parfois un peu d'audio. A noter que le 6C, avait pu être reconnu la toute première fois, fugacement, à mi--chemin entre Paulhac et Neuvéglise à la faveur d'un beau dégagement vers le sud-ouest.
Laguiole > Nasbinals
7D bien reconnu, et même parfois audible, notamment vers la Croix des Trois Évêque (Auvergne, Gévaudan, Rouergue), ainsi au moment d'entrer en Lozère, et ce jusqu'à Nasbinals. En sortant au sud-est de Nasbinals, j'ai été surpris de recevoir pendant quelques centaines de mètres l'audio de Radio Classique avec un fort haut niveau de qualité. Il est vrai que dans ce secteur, on aperçoit le Sancy, ce qui atteste de la profondeur du dégagement vers le nord.
Nasbinals > Saint-Germain-du-Teilh via le col de Bonnecombe.
7D : reconnu dans un premier temps, puis de plus ou moins difficilement, et enfin pas du tout, 3 km avant le col de Bonnecombe. A la faveur d'une ultime montée en altitude en arrivant au col, ce mux fut à nouveau reconnu, limite audio (là encore, massif du Sancy encore apercevable par temps clair).
Synthèse :
les limites de la réception du 7D en audio, correspond peu ou prou à celles de l'ancienne réception UHF analogique du PDD lorsque l'image est encore acceptable avec une antenne de camping Tonna (amplifiée), soit une image couleur sans les pixels flottants colorés, mais où l'on peut apercevoir apercevant (tout près de l'écran), les grains de l'image > soit, une réception assez bonne en UHF, qui d'ailleurs correspond en général à la limite de détection d'un émetteur via l'outil TDF pour la TNT. Avec une bonne (test réalisée avec Bruno sur le Larzac), la limite géographique de la TNT correspond au temps de l'analogique (mais toujours avec l'antenne Tonna amplifiée) à une image sans les pixels flottants colorés, mais à une granulation de l'image qui est perceptible, sans être tout près de l'écran), soit ce qui - empiriquement - correspond à l'extrême limite commerciale en matière de réception. A cet égard, dans les quelques endroits où la réception UHF était limite en analogique, les antennes de jadis ont quasiment toujours été remplacées par une parabole (ou plus rien : via une box ?) > probablement, qu'en raison de la météo, il pouvait y avoir des jours (pluie intense) où la réception était trop limite pour une réception commercialement continue en digital.
7A stéphanois.Je confirme que sa zone de réception épouse a priori la réception VHF (anciennement analogique) du Pilat.Autour de Besse, ainsi qu'en remontant vers Super-Besse, jusqu'à la jonction avec petite la route vers le Sanctuaire de Vassivière : reconnaissance, et même assez souvent de l'audio (mais qui ne dure jamais trop longtemps car champ trop juste > le moindre obstacle comme une forêt de sapins = coupure).
On le retrouve plus loin à partir d'Albepierre, et jusqu'au col de Bonnecombe (réception aidée parfois par des échos, nobles, comme vers Albepierre).
Hormis vers Paulhac, où j'ai pu avoir un peu d'audio, ainsi qu'entre Allanche et Murat en hauteur, ce n'était que de la reconnaissance, et seulement si dégagement OK vers l'est.
Parfois vers Neuvéglise, ou vers Nasbinals, il pouvait être reconnu en certains secteurs dans lesquels que le 7D ne l'était pas ; pour autant, dans ce secteur vers l'Aubrac, la reconnaissance du 7D est bien plus significativement constatée que le 7A. Ce qui est tout à fait logique.
6C toulousainDébut reconnaissance vers Lacalm, avec même de l'audio à mi-chemin avant Laguiole > logique, car beau dégagement vers le sud-ouest. Et par temps très clair, les Pyrénées sont visibles.
A l'est de Laguiole, à partir du Restaurant Bras, le 6C est reconnu, et assez régulièrement audible jusqu'à la limite Aveyron / Lozère.
On retrouvera ultimement le 6C au col de Bonnecombe.
Cette reconnaissance du 6C semble "s'inscrire", dans l'Aveyron, là où la réception TNT du Pic du Midi est possible, ou plutôt limite possible avec une très bonne installation.7C MarseillaisEn entrant en Lozère, en dépit d'un bon dégagement vers le sud-est (au-dessus de Nasbinals avec le Fortunio à vue) pas de reconnaissance du 7C, sauf peut-être à une ou deux reprises... (limite de la reconnaissance).
A noter qu'en TNT, le Ventoux arrive ponctuellement à passer (au-dessus de 1200 mètres, à l'ouest de Nasbinals).
Au-delà du col de Bonnecombe, si dégagement dans la direction de Marseille, jusqu'à 1000 mètres d'altitude, le 7C est audible. En descendant jusqu'à 800 mètres, il sera de moins en moins reconnaissable, toujours si dégagement en direction de Marseille.
La zone de réception du 7C (et 8B) se superpose (sans surprise) sur la zone de couverture anciennement de la VHF 1ère chaine / Canal plus du temps de l'analogique. Conclusion Si préampli ad hoc = audio en DAB+ faisant qu'il y ait l'audio dès qu'il y a reconnaissance avec le Pure High Way assortie d'une antenne sèche > peut-être alors, à plus de 80 %, Radio Classique aurait été audible jusqu'en Aubrac. Néanmoins, une une zone d'ombre insurmontable où toute réception DAB+ (dont le 5B Clermont étendu est impossible) :
d'Égliseneuve-d'Entraiques jusqu'avant Marcenat ; ainsi que depuis Saint Germain du Theil jusqu'au nord de Millau (début reconnaissance des métropolitains marseillais, de manière ponctuelle, ainsi que de Montpellier étendu mais encore plus difficilement > pour ce dernier, il faudra atteindre la limite entre 12 et 34, pour obtenir une écoute au mieux discontinue (à partir du Caylar, et surtout après le tunnel de l'Escalette).
Une fois prochaine (in mai), possiblement un CR depuis le parcours CF vers le Charolais. A mon avis, la réception du 7D devait alors plutôt correspondre non pas à l'ancienne UHF PDD du trio 1/2/3 mais plutôt au duo 5 et 6 (pour ces deux dernier, visibles moyennement lorsqu'à la fin des années 80, début 90, l'émetteur du Mont-Saint-Vincent interrompait la diffusion des canaux 30 et 33).
A suivre...
![Cool 8)](http://www.tvnt.net/forum/images/smilies/icon_cool.gif)